Archives de catégorie : Recherche co-investigateurs

RECHERCHE paramédicaux co-investigateurs

Pour quelle étude?

Le projet porte sur l’évaluation d’un programme de prévention des complications de la corticothérapie au long cours dirigé par l’infirmière : l’étude COCORTICO

Investigateur COORDONNATEUR

Solen NICOL, Infirmière, Centre d’investigation clinique, CHU de Brest

Investigateur associe

Dewi GUELLEC, Rhumatologue Service de rhumatologie, CHU de Brest

méthodologie
  •  L’objectif est de déterminer la capacité d’un programme de prévention à réduire la charge d’évènements indésirables attribuables à la corticothérapie , chez les patients débutant une corticothérapie au long cours , en la comparant à la prise en charge habituelle.
  • La population concerne les patients âgés de 18 ans ou plus, vus en consultation, en hospitalisation de jour ou en hospitalisation continue, pour lesquels il a été porté une indication à débuter une corticothérapie au long cours avec une posologie cumulée prévisionnelle supérieure à 2000 mg, en dehors des indications liées à des affections tumorales malignes et du contexte d’insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine < 30 ml/min)
  • Le design est multicentrique, randomisé, prospectif, interventionnel à risques et contraintes minime (RIPH2). L’e étude prospective, ouverte, de supériorité, d’une durée de 12 mois pour chaque participant, comparant un programme de prévention des complications de la corticothérapie au long cours dirigé par l’infirmière à la prise en charge habituelle. Il s’agit d’une étude PROBE (Prospective Randomized Open trial with a Blind Evaluation), pour laquelle le critère de jugement principal sera évalué par un médecin en aveugle du groupe d’appartenance du participant.
  • Le rationnel met en évidence un nombre important de patients bénéficiant d’une corticothérapie au long cours n’ayant pas reçu l’ensemble des informations recommandées et ne bénéficiant pas d’une stratégie optimale de prévention.
Co-investigation 

Médecine interne, Dermatologie, Pneumologie, Hépato-Gastro-Entérologie, Rhumatologie

Co-investigateurs : S’agissant d’une étude de catégorie 2, il est proposé que les infirmières diplômées spécifiquement formées au programme de prévention des complications de la corticothérapie au long cours, formées aux BPC soient co-investigateur du projet et recueillent le consentement des patients. En effet, elles effectueront les différents entretiens et formations auprès du patient sous la responsabilité de l’investigateur principal du centre tel que réalisé dans le cadre de leurs exercices professionnels habituels.

Unités : L’ensemble des médecins de chaque établissement exerçant une spécialité concernée par la prescription de corticothérapie de longue durée et correspondant aux critères de sélection de l’étude seront informés sur la possibilité de proposer à leurs patients une participation au protocole, par l’intermédiaire de réunions d’informations organisées dans les services concernés. Les spécialités concernées sont principalement la médecine interne, la dermatologie, la pneumologie, l’hépato-gastro-entérologie et la rhumatologie.

PERIMETRE GEOGRAPHIQUE

Ouvert aux établissements du Grand Ouest

Calendrier

Accord de principe souhaité avant fin mai 2023

En savoir plus

Contactez : Solen NICOL, Infirmière, Centre d’investigation clinique, CHRU de Brest, site Cavale Blanche, 02 98 14 50 15, solen.nicol@chu-brest.fr

RECHERCHE paramédicaux co-investigateurs

Pour quelle étude?

Le projet porte sur l’utilisation d’un Accroche Porte avant la réalisation d’un Acte transfusionnel pour Lutter contre les Interruptions de tâches Externe (APATITE).

Investigateur principal

Franck RIBOUCHON, Directeur des Soins, CH Le Mans

méthodologie
  •  L’objectif est d’évaluer l’impact de la présence d’un accroche porte (sur la poignée extérieure de la porte de la chambre où est effectuée la transfusion) accompagnée d’une sensibilisation et d’une information aux IT des professionnels sur les interruptions de tâche des infirmiers(ères) lors de la réalisation d’un acte transfusionnel.
  • La population concerne les infirmiers(ères) des unités d’HC cibles (Hématologie – Orthopédie  – Médecine gériatrique). Il faudra 30 actes transfusionnels avant la mise en place de l’accroche porte et 30 actes après la mise en place de l’accroche porte.   
  • Le design est multicentrique, prospectif, observationnel.
  • Le rationnel met en évidence un manque de données sur l’utilisation d’un accroche porte dans la lutte contre les interruptions de tâche en matière de sécurité transfusionnelle.
Co-investigation 

Services : Hématologie – Orthopédie  – Médecine gériatrique

Calendrier

Accord de principe souhaité avant fin mai 2023

En savoir plus

Contactez : Emmanuelle LECOMPTE, cadre de santé à la Direction des soins du CH Le Mans : 02.43.43.43.68

RECHERCHE Infirmiers associés

Pour quelle étude?

DysNurse : Prise en charge infirmière multifacette de la dyspnée chez les patients intubés en Réanimation.

L’investigatrice principale est Aude Pileyre, Infirmière Cadre de Santé à la Pitié-Salpêtrière.

C’est une étude promue par l’AP-HP

Les objectifs

L’objectif principal du projet est de comparer l’impact d’une prise en charge infirmière multifacette de la dyspnée chez les patients intubés vs. une prise en charge « usuelle ». Le critère de jugement sera le contrôle de la dyspnée au cours des 24 heures suivant l’inclusion.

Qui?

Les sujets cibles de cette étude sont les patients intubés de Réanimation

Comment

Il s’agit d’un essai randomisé en clusters.Les centres participants seront randomisés. Certains centres appliqueront l’intervention multifacette de contrôle de la dyspnée et d’autres non. Au moins 20 centres investigateurs sont attendus en France. Tous les services de réanimations du Grand-Ouest sont les bienvenus.

En savoir plus

Résumé du rationnel de l’étude :

35 à 50 % des patients intubés présentent une dyspnée, qui est en générale sévère (en médiane, 5 sur une échelle de zéro à 10). Outre la souffrance immédiate qu’elle entraine (peur de mourir, anxiété…), la dyspnée est associée à une augmentation de la prévalence du syndrome de stress post traumatique à 3 mois. Alors que la douleur est l’objet d’une préoccupation importante chez les soignants, tel n’est pas le cas de la dyspnée. Or, il existe de multiples moyens de contrôles les dyspnée. Certains de ces moyens relèvent du rôle propre infirmier. 

Pour en savoir plus, contacter soit Laurent Poiroux, co-coordonnateur du réseau Recherches et Innovation Paramédicales du GIRCI-GO (lapoiroux@chu-angers.fr) soit le Pr Alexandre Demoule (alexandre.demoule@aphp.fr)

Calendrier

Accord de principe souhaité avant le 05 octobre 2022.

RECHERCHE Infirmiers associés

Pour quelle étude?

PROPOSE : Prise en charge des veinites avec utilisation de traitements à visée symptomatique.

Une étude promue par le CHU de Tours

Les objectifs

L’objectif principal du projet est de comparer l’évolution de la douleur provoquée par une veinite non compliquée avec l’application d’une crème à base de lidocaïne (Osmogel®) ou un pansement alcoolisé à 70°.

Il s’agit d’un essai randomisé (ratio 1:1:1), multicentrique en ouvert

Qui?

L’étude s’adresse aux patients âgés de 18 ans ou plus présentant une veinite non compliquée sur cathéter veineux périphérique. 

Comment

Les patients seront randomisés et alloués à deux groupes traitements ((pansement alcoolisé à 70° ou crème à base de lidocaîne (Osmogel®)) ou un groupe contrôle (crème émolliente).

En savoir plus

Télécharger le résumé de l’étude :

Contactez BROUILLET GUILLAUME G.BROUILLET@chu-tours.fr

BROUILLET Guillaume

Infirmier de Recherche Clinique

Service de Médecine interne et maladies infectieuses

C.H.R.U. Bretonneau, 37044 TOURS CEDEX 9

Téléphone: 02 47 47 90 62

Calendrier

Accord de principe souhaité avant le 05 octobre 2022.

La date est dépassée? N’hésitez pas à appeler Guillaume Brouillet pour discuter de son projet, des partenariats sont toujours possibles.

RECHERCHE Infirmiers paramédicaux associés

Pour quelle étude?

TANDOORI : Impact de la fréquence de changement des lignes de perfusion sur les infections liées aux cathéters veineux centraux en réanimation – Essai randomisé contrôlé

Une étude promue par le CHU d’Angers

Les objectifs

L’étude de Rickard (Rickard et al., 2021) récemment publiée dans The Lancet montre qu’un changement systématique des lignes de perfusion des cathéters veineux centraux à 7 jours était équivalent à un changement à 4 jours en termes de prévention des infections. Cependant, même si des patients de réanimation ont été inclus dans cette étude, aucune donnée spécifique n’a été rapportée sur cette population. Il semble ainsi légitime de s’interroger sur la validité des résultats récents de Rickard sur une population spécifique de patients de réanimation. C’est ce que propose de faire la présente étude en évaluant l’impact d’une stratégie de fréquence de changement de lignes de perfusion tous les 7 jours versus tous les 4 jours sur le taux de patients présentant une infection liée aux cathéters

Qui?

Tout patient de réanimation porteur d’un cathéter veineux central depuis moins de 72h et dont la durée prévisible de maintien en place est de 7 jours minimum.

Comment

Essai randomisé multicentrique en ouvert en 2 bras parallèles, sur 2 ans.

2313 patients à inclure

La randomisation sera stratifiée en fonction des centres participants et des sites d’insertion des cathéters veineux centraux.

Chaque centre utilisera ses dispositifs médicaux habituels. En fonction du bras de randomisation, le changement des lignes de perfusion devra être réalisé tous les 4 jours (groupe contrôle) ou tous les 7 jours (groupe intervention). Tous les flacons de perfusion, les seringues, les tubulures et les raccords devront alors être changés.

Les solutés lipidiques, les traitements de chimiothérapie, les produits sanguins et les dispositifs de perfusion qui y sont associés devront être changés tous les jours selon les recommandations actuelles.

La perfusion de catécholamines ayant un impact très important sur l’hémodynamique du patient et un changement de tubulure pouvant avoir des conséquences péjoratives pour le patient, ces tubulures seront changées selon les procédures habituelles, la plupart du temps à l’arrêt des traitements.

Les patients seront suivis jusqu’à ce que le cathéter soit retiré ou jusqu’à sa sortie de réanimation. Le recueil des données sera censuré à J28.

En cas de suspicion d’infection sur cathéter, des hémocultures seront prélevées. Les cathéters seront changés si nécessaires. Toutes les données relatives à l’étude seront recueillies quotidiennement sur un eCRF

En savoir plus

Télécharger le résumé de l’étude :

Contactez Carole Haubertin Carole.Haubertin@chu-angers.fr

Carole HAUBERTIN
Infirmiere – Cadre de Santé
Médecine Intensive Réanimation

Unité 2
CHU d’Angers
Tel fixe : (02 41 3) 5 40 82
Portable: 06 65 80 68 98 ou 44082

Calendrier

Accord de principe souhaité pour mercredi 22 septembre!

La date est dépassée? N’hésitez pas à appeler Carole Haubertin pour discuter de son projet, des partenariats sont toujours possibles.

RECHERCHE Investigateurs paramédicaux associés

Pour quelle étude?

PROPOSE : Evaluation de l’effet de deux techniques de décubitus ventral sur la survenue d’escarres de stade 3 et plus chez les patients atteints de SDRA en service de réanimation : Etude multicentrique, prospective randomisée contrôlée.

Une étude promue par le CHR d’Orléans

Les objectifs

Montrer que l’intervention (DV « nageur ») diminue la survenue d’escarres de stade 3 par rapport à la position DV « à plat » (au soin courant)

Qui?

Patient majeur (> 18 ans) présentant un syndrome de détresse respiratoire aigüe, nécessitant le recours au décubitus ventral

Comment

Essai randomisé multicentrique en ouvert en 2 bras parallèles, sur 3 ans maximum.

334 patients à inclure

La randomisation sera stratifiée en fonction des centres participants. Les patients seront randomisés selon un ratio 1 :1 et alloués au groupe intervention (position nageur) ou au groupe contrôle (position bras le long du corps).

S’agissant d’une intervention sur les pratiques, il n’est pas possible de mettre en place un quelconque aveugle sur le positionnement du patient.

  • Position de décubitus ventral « nageur » durant toute la durée de l’étude (J28), lorsque les critères de mise en DV sont réunis.
  • Position de décubitus ventral « bras le long du corps » durant toute la durée de l’étude (J28), lorsque les critères de mise en DV sont réunis.
En savoir plus

Télécharger le résumé de l’étude :

Contactez Guillaume Fossat guillaume.fossat@chr-orléans.fr

     Kinésithérapeute, Référent Recherche Paramédicale

     Médecine Intensive Réanimation

CHR Orléans

Calendrier

Accord de principe souhaité pour mercredi 22 septembre!

La date est dépassée? N’hésitez pas à appeler Guillaume Fossat pour discuter de son projet, des partenariats sont toujours possibles.

RECHERCHE Investigateurs associés en cancérologie

Pour quelle étude?

PREPAC = Evaluation de l’impact, du suivi personnalisé par une infirmière coordinatrice, sur l’état de santé de l’aidant principal de personnes malades atteints de cancer, considérées en parcours complexes

Une étude randomisée multicentrique sur 1 an, visant à évaluer l’impact du suivi personnalisé par une Infirmière (IDEC ou IPA) sur l’état de santé de l’aidant principal de personnes malades atteints de cancer, considérées en parcours complexes et résidant à domicile

Les objectifs

La mise en place d’un suivi par un(e) IDEC et/ou IPA   auprès du binôme patient-aidant permet de maintenir voire de diminuer le niveau de fardeau, d’anxiété et la qualité de vie de l’aidant principal.

Mais aussi,

  • La mise en place d’un suivi par un(e) IDEC de parcours permet de limiter les variations de certains  indicateurs de la santé de l’aidant principal.
  • La mise en place d’un suivi par une IDEC de parcours  permet d’améliorer la prise en charge du patient et a un impact sur sa santé.
  • Déterminer les actions mises en place par l’IDEC de parcours pour soutenir l’état de santé de l’aidant (information,  accompagnement psychologique, aides à domicile, orientation vers les associations ou médecin traitant, proposition d’alternative au maintien à domicile…).  -Démontrer l’intérêt de la prise en compte de l’état de santé de l’aidant dès le diagnostic de cancer au patient.
Qui?

Les critères d’inclusion de l’étude:

  • Patient et Aidant principal devront être  âgés de plus de 18 ans
  • Patient en début de prise en charge pour un cancer, toutes pathologies confondues
  • Aidant principal désigné par le patient, intervenant de façon hebdomadaire auprès du patient
  • Patient devra répondre aux critères de complexité
Comment

Projet multicentrique  sur 1 an

Le groupe contrôle = le patient bénéficiera d’un suivi IDEC et /ou IPA pendant sa prise en charge avec réévaluation minimale 1 fois /mois par téléphone ou en présentiel.

Le groupe expérimental = le patient bénéficiera de la même prise en charge standard que le groupe contrôle mais l’IDEC assurera en plus l’accompagnement avec de l’aidant principal tous les 2 mois en consultation ou téléconsultation et suivi téléphonique mensuel.

En savoir plus

Télécharger le résumé de l’étude :

Contactez Céline Thomas Celine.Thomas@ico.unicancer.fr

IPA Oncologie : neuro-oncologie, AJA, Parcours Complexes

Calendrier

Accord de principe souhaité pour lundi 28 février !

La date est dépassée? N’hésitez pas à appeler Céline Thomas pour discuter de son projet, des partenariats sont toujours possibles.

RECHERCHE Investigateurs associés

Depuis 2 ans un groupe de travail inter-régional travaille sur la corédaction d’un projet de recherche portant sur la thématique de la prise en charge nutritionnelle post-AVC. L’équipe a rédigé une lettre d’intention qu’elle souhaite soumettre à l’appel d’offre du PHRIP 2021.

Afin de pouvoir atteindre ses objectifs l’équipe recherche des co-investigateurs.

Vous voulez vous rejoindre une dynamique passionnante en intégrant une équipe conviviale? Contactez-nous !

Pourquoi?

Nous souhaitons tester la pertinence d’une prise en charge nutritionnelle précoce post-AVC.

Aujourd’hui il n’existe pas de recommandations de pratiques uniformes. Pourtant nous sommes persuadés qu’une prise en charge nutritionnelle personnalisée permettra d’améliorer la récupération et la qualité de vie du patient, et peut être même agir sur la mortalité.

Qui?

Nous recherchons des diététiciens/nnes qui souhaiteraient s’impliquer auprès des patients de l’ Unité de Neurologie Vasculaire de leur établissement.

Vous ne travaillez pas en unité de neurologie aujourd’hui ou vous pensez ne pas avoir assez de temps? Un temps de travail de diététiciens sera financé pour l’étude et du temps détaché pour l’étude.

Comment

Une formation sera proposée à toute personne souhaitant participer au projet.

Le projet repose essentiellement sur :

  • Une évaluation nutritionnelle précoce
  • Une expertise nutritionnelle par les diététiciens pour tous les patients.
  • Le suivi des ingestas par du personnel formé et financé par l’étude
  • Le recueil de données spécifiques par le personnel de recherche dédié à l’étude

La faisabilité du programme sera évaluée dans les semaines à venir au cas par cas.

La thématique m’interesse que faire?

Contactez-nous!!!

L’équipe qui a co-écrit le projet sera ravie de vous renseigner :

Calendrier

Accord de principe pour le 20 septembre! Appelez nous sans tarder!

RECHERCHE Investigateurs associés

Projet

Projet de recherche TracCerv2 « Evaluation de l’impact des tractions vs. tractions placebo chez des patients atteints de radiculopathie cervicale, étude randomisée contrôlée en simple insu » porté par Thomas RULLEAU, kinésithérapeute.

Le projet est financé par le PHRIP 2021

Profil ciblé

Le projet s’inscrit dans un programme complet de prise en charge de la radiculopathie cervicale avec la mise en place de tractions cervicales. Cette étude fait suite à une étude préliminaire que vous pouvez retrouver disponible ici.

Les services pouvant être impliqués sont la rhumatologie et la médecine physique-réadaptation.

Objectif principal 

Evaluer l’impact à 3 mois d’un protocole intensif (2 tractions de 30 minutes sur 5 jours consécutifs) de tractions cervicales sur la dysfonction chez des patients atteints de radiculopathie cervicale, en comparaison à des tractions placebo.

Ø  Le matériel nécessaire aux tractions cervicales est fourni par le promoteur (si non disponible dans le centre)

Contact

Vous êtes intéressés pour participer à ce projet ou vous souhaitez des informations complémentaires? Contactez :

Coordonnateur : Thomas Rulleau, kinésithérapeute CHU Nantes thomas.rulleau@chu-nantes.fr

Référent médical : Grégoire Cormier, médecin-rhumatologue CHD Vendée gregoire.cormier@ght85.fr

Cheffe de projet : Chloé Moreau, CHD Vendée chloe.moreau@ght85.fr